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Crise de confiance : l’incompétence du gouvernement face à l’immigration et au budget de la France

L’incompétence manifeste de François Bayrou et du gouvernement dans la gestion de l’immigration et du budget de l’État est criante et suscite une vive critique dans tout le paysage politique et social français. Depuis plusieurs années, la crise migratoire, la montée des dépenses sociales et le déficit budgétaire se sont aggravés, révélant une incapacité chronique à mettre en place des politiques cohérentes, efficaces et équitables.


### Incompétence dans la gestion de l’immigration


Dès l’origine, la question de l’immigration est traitée avec une opacité et un mépris du réel qui frisent l’incurie. Malgré les promesses de réformes annoncées par Gérald Darmanin, Gabriel Attal ou Bruno Retailleau, rien ne semble véritablement avancer pour réduire les coûts exorbitants liés à l’aide médicale d’État ou à l’accueil des migrants. En effet, des dispositifs comme l’Aide médicale d’État continuent d’être accordés sans contrôle rigoureux, ce qui coûte des dizaines de milliards d’euros par an à la France, selon plusieurs études indépendantes.


L’absence de volonté politique claire et de mesures concrètes pour maîtriser ces flux migratoires témoigne d’une incompétence flagrante. Plutôt que de s’attaquer aux causes profondes ou de limiter les pompes aspirantes, le gouvernement, sous la houlette de Bayrou, préfère faire des annonces symboliques ou des coupures dans le budget sans véritable stratégie pour réduire cette charge financière insoutenable. La conséquence est une aggravation de l’insécurité sociale et une injustice criante envers les citoyens français, qui doivent supporter des coûts croissants sans que leur sécurité ou leur pouvoir d’achat soient réellement protégés.


### Incompétence dans la gestion du budget de l’État


Sur le plan budgétaire, François Bayrou et le gouvernement affichent une légèreté inquiétante, en proposant un plan de rigueur qui, à bien des égards, apparaît comme une improvisation maladroite. La suppression de deux jours fériés, le gel des prestations sociales et des retraites, tout cela dans un contexte où les dépenses sociales explosent, témoigne d’une incompréhension profonde des enjeux économiques et sociaux. La soi-disant « rigueur » n’est qu’un habillage pour masquer l’incapacité à maîtriser les dépenses publiques.


Les critiques sont unanimes : Édouard Philippe qualifie ce plan de « limiter simplement les conséquences » sans résoudre l’origine du problème, notamment l’explosion de la dépense sociale. Laurent Wauquiez, tout en soutenant l’idée de solutions, insiste sur la nécessité de réduire davantage le train de vie de l’État et de lutter contre l’assistanat. Mais l’essentiel, à savoir la maîtrise des dépenses indues liées à l’immigration, demeure ignoré ou minimisé, ce qui démontre une incapacité à prendre des mesures structurantes.


### Une gestion défaillante et des annonces incohérentes


Le gouvernement, sous la pression de Bayrou, semble naviguer à vue, oscillant entre des mesures discutables et des déclarations d’intentions sans réel fondement stratégique. La promesse de négocier avec le PS ou d’autres partis pour faire passer le budget témoigne d’un manque de leadership et d’une vision à long terme. La crainte d’une censure à l’automne pousse à des négociations précipitées, souvent au détriment de l’intérêt général.


Les propositions socialistes, comme la taxe Zucman ou la lutte contre l’évasion fiscale, sont rejetées sans véritable argumentaire valable, renforçant l’image d’un gouvernement incapable d’adresser réellement les enjeux fiscaux et sociaux. La gestion de cette crise budgétaire devient alors une succession d’approximateurs, de demi-mesures et de compromis politiques, qui ne font qu’aggraver la méfiance des citoyens.


### Conclusion


En somme, François Bayrou et le gouvernement font preuve d’une incompétence criante dans la gestion des sujets cruciaux que sont l’immigration et le budget de l’État. Leur incapacité à proposer des solutions concrètes, à maîtriser les dépenses ou à traiter de front la question migratoire traduit une absence de vision, de courage et de responsabilité. La France a besoin de dirigeants compétents, capables de faire face aux défis sans improvisation ni populisme, ce qui, manifestement, ne se trouve pas dans cette équipe gouvernementale. La conséquence en est une crise de confiance profonde, une aggravation des injustices sociales et une fragilisation du pacte social qui unit la nation.

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